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New Young Pony Club (NYPC), mon petit poney

Youpi, on a retrouvé New Young Pony club, leur groove, et la facilité à faire danser qui faisait tout l’intérêt de leur premier album. Le chant de Tahita Bulmer, un peu ralenti et haché, est toujours aussi sexy, et Sarah Jones est l’une des plus grandes batteuses du monde.

Les mélodies de NYPC ne sont pas les plus grandioses qui soient, mais la rythmique est au taquet et la production franchement classe. disque idéal pour se chauffer le soir avant de sortir danser, ou… pour danser chez soi en changeant de fringues toutes les 3 minutes. De quoi retrouver l’ambiance de Cansei de ser sexy ou de Santogold (et même Ladyhawke sur Sure as the sun). Ce n’est pas le genre d’albums qu’on écoute de bout en bout, mais il y a de quoi alimenter vos playlists ou profiter d’une face. La première moitié est la plus dansante, et la face B plus variée. On vous recommande Hard knocks et Everything is.
C’est toujours sympa, au passage, de retrouver un groupe qui a démarré très fort puis a sombré dans le deuxième album. L’inspiration ça va, ça vient ^^

NYPC est sorti le 7 octobre